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Critiques de livres
l'ours-polar

José-Louis Bocquet
Les lumières de la ville ne s'éteignent jamais
Terre de Brume, Granit Noir, avril 2000.

« Sur le coup, Gus avait juste enregistré la phrase. Mais plus tard, avec les crises du porc et du banquier, ces quelques mots avaient donné un nouveau sens à la vie de mon frère. Gus était à Paris pour Elvira et j'étais à Paris pour Gus ». Deux frangins, « des ploucs agricoles », débarquent à Paris. Pour Gus, superbe colosse à la peau d'ébène, une seule idée en tête, retrouver Elvira, jeune fille rencontrée lors de ses vacances en Bretagne. Mais la ville est grande, ils ne connaissent rien et n'ont aucune piste. Le conte de fée va virer au cauchemar.

Petit texte promotionnel offert par Terre de Brume pour l'achat de trois titres, cette longue nouvelle de José Louis Bocquet se lit d'une traite. Bien que la fin soit évidente, on se laisse captiver par cette errance et on y prend plaisir.


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