François Vitalis
L'arène des pigeons
Baleine, canaille/revolver, Avril 1998.

Au milieu de la foule, place de l'hôtel de ville, Jeanne Mercier immortalise une scène de meurtre avec un pigeon égorgé. Malheureusement, il n'y a pas de vue du tueur. Elle est ensuite agressée et son ami journaliste égorgé avec le même modus operanti. La bande à Jo l'indien gravite autour de ce mystère. Quelqu'un fait sauvagement, et de nuit, de l'art sur les statues de la ville. D'autres assassinats sont commis. Maurice Janvier, employé municipal à la direction de la propreté de la mairie en connaît plus qu'on ne le croît. Quant à l'équipe de la police, somme d'individualités bigarrée, elle se mélange un peu les pinceaux.

François Vitalis, professeur d'arts plastiques,  signe son premier roman.  On y retrouve un ton ainsi qu'une connaissance de l'art et de Paris qui font penser au roman de J-F. Vilard ; c'est toujours les autres qui meurent, ce qui n'est pas peu dire.

l'ours-polar© | accueil | haut de page